Retour à Home Sweet Home / Forest View Hospital.
Si un généreux soleil était de la partie pour la visite d’aujourd’hui, un parapluie n’aurait pas été du luxe.
Si la plupart des immeubles ont maintenant une climatisation intégrée au plafond, Home Sweet Home a la particularité
d’offrir une douche intégrée. Des bottes auraient été sympas aussi...
Malheureusement, cette pluie intérieure s’est révélée inutile face aux nombreux incendies qui ont fait rage ici.
Presque méconnaissable depuis ma dernière visite, le vénérable home a eu à subir les assauts des branleurs, voleurs de
câbles et autres humains inutiles. Rendu dangereux par les infiltrations d’eau, l’ancien institut ne semble demander qu’une chose :
qu’on en finisse au plus vite. Ravagé de toute part, il n’offre plus qu’un visage pathétique.
Seuls le théâtre et la toiture ont encore un semblant de vaillance au milieu de ce champ de ruine...
Home pas si sweet que ça.
Même endroit que la photo 21 de ma précédente visite.
Le séjour.
La chambre des ballons.
Début du festival de la Guerre du Feu...
Le vieux piano, du moins ce qu’il en reste...
La morgue pillée.
La chambre mortuaire.
La chapelle.
Le théâtre a encore un peu d’allure.
Lance Armstrong aime ça.
Une des rares chambres plus ou moins intacte.
Instant de réflexion.
Le plafond est un peu tombé...
Winnie, c’est toi ?
Le réfectoire, digne d’Holiday on Ice.
Même couloir qu’à la photo 73 en 2011.
Tous les murs sont suintants d’humidité.
Là-haut.
Avant de ressortir, petit détour par le sous-sol.
Dommage, de dehors, les apparences sont encore presque sauves.
Cette fois-ci, on peut lui dire définitivement adieu.
Des "humains inutiles". T'as tout dis.
Y'a quand même de beaux restes et pas mal de détails à mettre en valeur pour faire oublier que sur les murs d'à côté, y'a de la merde gravée à jamais et que 9 vitres sur dix ont été cassées. L'extérieur du bâtiment a une belle architecture Art-déco toujours.
Merci
Malheureusement, ce beau vaisseau a été rasé il y a déjà longtemps et remplacé par une nouvelle structure à la mode, autrement dit, vide de toute recherche architecturale.
C'est vieux, ça doit donc disparaître...