Ancien fleuron de l’industrie métallurgique en Belgique, le HF6 est aujourd’hui endormi. Un sommeil qui risque cependant
de s’éterniser. Quand un outil pareil tombe aux mains d’un magnat étranger qui n’en à rien à foutre de la région, la fin
de l’histoire est déjà connue.
Et ce ne sera pas le seul...
Ce site n’est pas abandonné. La plupart des tableaux électriques sont sous tension et le bruit de circulation du gaz dans
les tuyaux est clairement audible. De plus, la nature même de l’endroit le rend particulièrement dangereux.
Devant jouer au chat et à la souris avec le gardien, celui-ci nous tombe finalement dessus. Après quelques explications quant
à nos motivations, celui-ci nous laissera encore prendre quelques clichés. Merci à lui.
Afin de ne pas abuser de sa gentillesse, la suite de la visite sera reportée.
C’est parti dans un dédale de métal et de béton.
Le site est encore alimenté en gaz et en électricité.
Le bâtiment des vestiaires, dans un état de ruine avancé.
Un plancher qui veut aller voir ce qui se passe plus bas.
Les châssis ne tiennent plus que par l’habitude.
Le plancher n’en peut plus...
Le but de la journée, qui ne sera pas atteint aujourd‘hui.
La production de fonte en fusion était évacuée vers les autres sites sidérurgique par train, dans des torpilles. L’une d’entre-elles est visible à Heavy Metal.
Tout est encrassé ici.
Suite à l’arrêt de la production, la nature reprend timidement le dessus.
Preuve de l’activité certes restreinte, mais tout de même bien là.
La bonne planque.
Il y a belle lurette que plus aucun train ne passe par ici.
Un conseil bien avisé. A suivre...
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