Une heure pour le localiser, huit mois pour me décider à y aller. Une semaine de plus et je l’aurais eu dans l’os.
Profitant de l’ultime trou de souris pour y pénétrer, la promenade fût longue. Et pour cause.
Etalant sa carcasse métallique sur des hectares, Heavy Metal semble être un monstre endormi. Partout, l’électricité
est présente. A chaque poste de travail, on ressent encore la présence des ouvriers. Tout est prêt pour un redémarrage,
qui risque fort de ne jamais arriver.
Sacrifié sur l’autel de la rentabilité, ce site industriel n’a plus d’avenir. Pourquoi ? Aucune réponse valable (valable par
rapport au plus basique bon sens) n’a été donnée jusqu’à présent.
Visite en compagnies des très sympathiques Stef & Eric.
Un plan aurait été bien utile.
Un fish-eye aussi...
Sous l’œil bienveillant d’une caméra.
Ca me fait penser qu’on a oublié d’aller dire bonjour au gardien...
La pince titanesque.
Sur les rails du pont roulant.
Torpille n° 47.
Les creusets géants.
La chaise venue de nulle part, lieu abandonné oblige.
Moteur d’un pont roulant.
Là-haut.
La voie de chemin de fer donne idée de la taille du truc.
Tout est prêt pour réveiller la bête...
Comment vous avez dû vous régaler..
Belle série, site très à la Bladrunner ou Mad Max, proche d'un univers pots-apocalyptique.
Dans le genre d'Heavy Metal, nous avions visité une usine de termomagnesium:
USINE THERMO
Gros ouvenir aussi.
Merci Josh pour ce reportage, à la prochaine explo alors !
Tout à fait !
L'extérieur est pas mal non plus, mais pour ne pas trop en montrer, pas de photos !
Le problème avec ce genre d'endroit, c'est qu'il y a trop à voir et tu ne sais plus où donner de la tête.
Pas mal non plus ton usine de... termomagnesium. Probablement encore un endroit très agréable pour les poumons !
Salut Josh
Sympa cette série. je vois que vous êtes parvenus à entrer dans la petite salle de contrôle...nous elle était fermée...
Au plaisir
Hello !
Merci bien.
Effectivement, la porte était ouverte (carreau pété). Mais il y avait d'autres salles comme celle-là.
Mais où, c'est une autre histoire