Suite et fin de ce petit reportage sur l’église du Christ-Roi d’Herseaux. Cette suite aurait dû arriver beaucoup plus vite
mais divers empêchements ont modifié le planning initial.
Soit, la boucle est bouclée et c’est le principal.
J’aurais voulu explorer les combles en détail mais ce fût malheureusement impossible. L’explication se trouve en regard
du seul cliché (complètement pourri... désolé) de ces combles.
Après mon refus de monter au sommet de l’échafaudage, voici ma deuxième erreur sur le même site. On ne m’y reprendra plus !
La visite fût agréable, Monsieur Renard me laissant une totale liberté dans l’édifice, tout en répondant à mes questions. Je l’en remercie. De plus, il n’a pas hésité à monter une nouvelle fois au sommet du clocherNote pour permettre la réalisation de ce shooting.
Le parvis de l’église, rue du Petit-Audenarde, du nom du quartier. Les décorations de Noël ne semblent pas vouloir prendre de vacances...
Une seule année aura suffi à sa construction. Délai impossible à imaginer de nos jours...
Le clocher débarrassé de son carcan métallique.
Bien que de modeste superficie, l’église dégage une impression d’espace.
Le chœur. Les trois arcades représentent la Sainte Trinité, aussi symbolisée dans la rosace par les trois cercles entrelacés.
Le soleil baignant les murs de briques de la nef.
La croisée. Les panneaux plus sombres correspondent à des réparations effectuées suite aux dégâts causés par la grande tempête du début des années 90.
Autre vue de la croisée. Les grands arcs en briques sont en fait la structure en béton armé présente dans tout l’édifice.
Le chœur vu du transept.
Détail sur la naissance d’une voûte.
Le grand vitrail de la façade. A sa gauche, l’orgue, régulièrement utilisé.
La nef à contre-jour.
Le cierge pascal.
Une nef latérale. L’église ayant la forme d’une croix grecque, la nef est relativement courte.
Jeu d’ombre et de lumière.
Les vitraux. Toujours très colorés, ils ont été installés lors de la construction de l’église.
La chapelle d’hiver. Un incendie dans les années 70 a endommagé les voûtes. Un faux-plafond les dissimule désormais.
Un bas-relief marial au-dessus de la porte de la chapelle d’hiver.
La plaque de l’inauguration, du temps où Herseaux faisait encore partie de la province de Flandre Occidentale.
Le tabernacle. Il est en cuivre repoussé.
Les arcs des voûtes constituent le squelette de l’édifice.
Le sommet des voûtes. Des lambris auraient dû combler les caissons. A la place, on y plaçait des panneaux de bois. Ce qui fût provisoire devint définitif.
La seule image du comble. Mon vertige, l’exigüité et l’absence de rambarde m’ont empêché d’aller plus loin. Un faux mouvement ici et on s’écrase 20 mètres plus bas.
Arrivée dans la salle des cloches... où il n’y en a qu’une. Le beffroi est en poutres IPN.
La cloche est tintée par le marteau (à droite) pour marquer les heures tandis qu’elle part en volée (le volant est visible à gauche) pour les grandes occasions.
Signature de la cloche : « FR SERGEYS M A FONDUE A LOUVAIN EN 1937 ». Fernand-François Sergeys faisait partie d’une dynastie de fondeurs présente du début du XXe siècle aux environs de 1979. Les cloches Sergeys se retrouvent dans tout le pays.
Les abat-sons grillagés (visibles de l’extérieur dans la 1ère partie de ce reportage). La quantité de guano dans la tour est très faible. Quelques cadavres de pigeons ont néanmoins été retrouvés.
La structure en béton armé de la tour. Elle se retrouve à chaque étage. Visiblement, le béton commence à vieillir un peu. Au-dessus, on se retrouve dans la flèche.
La charpente de la flèche. Tout juste restaurée, elle est dans un état impeccable.
L’inscription mystérieuse sur la charpente. Peut-être la signature d’un charpentier, elle a été réalisée en clous d’ardoise.
Fin de la visite.
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