Visite d’un immense hôpital abandonné en compagnie de Ferver.
À l’heure de la crise du COVID-19, pouvoir visiter un tel endroit à l’abandon est une véritable hérésie. Enfin soit, nos élites politiciennes
savent ce qu’ils font et sont plus intelligents que nous, non ?
Évidemment, dans ce genre d’endroit, la palette de couleurs n’est pas des plus étoffée. De plus, l’endroit a été méticuleusement
dépouillé de son mobilier. Qu’importe.
Déambuler dans ce dédale de couloirs et escaliers sans y trouver les désormais habituelles dégradations volontaires et autres tags de merde,
ça n’arrive pas tous les jours. On en a donc profité au maximum.
Le très lumineux accueil. A la merci de la vue des passants...
Dans le quartier des urgences.
Pas de problème de mauvaises odeurs ici !
L’aspect de la majorité des pièces de cet hôpital : vide et presque monochromatique mais en très bon état.
Les nombreux escaliers mènent parfois à des portes fermées.
Dans l’hôpital de jour.
Toutes les chambres ressemblent à celle-ci.
Des couloirs infinis...
Les vitres cassées se comptent sur les doigts d’une main. Pendant encore combien de temps ?
Au sommet du complexe.
Un moteur d’ascenseur.
Dans le bloc de l’imagerie médicale. Plus aucun appareil, bien évidemment.
Dans l’aile psychiatrique.
Une cellule... chambre de sécurité.
Un fumoir, où la délicate odeur de tabac froid est encore bien présente, malgré les années.
Encore un looooong couloir.
Tout d’un coup, une avalanche de couleur !
Instant de réflexion.
Une petite chapelle, presque chaleureuse.
Le vaste quartier opératoire.
Chambre de réanimation.
Bloc 1, dans la pénombre.
Bloc 2. Il manque juste les tables et les scialytiques.
Bloc 3. Il y en a cinq au total.
Un labo entre les blocs opératoires.
Quasi le seul tag vu ici.
Tout va bien, nous sommes dans le beau créneau horaire
Un couloir vers l’inconnu...
Un peu de repos afin de reprendre des forces ?
Les cuisines et le restaurant sont là pour ça.
Café...
... ou bière (avec modération bien entendu) ? On peut reprendre la route.
Il aurait été dommage de ne pas trouver de point d'entrée vu comment toutes les portes et fenêtres étaient scellées...
Après notre passage, l'entrée par laquelle on est passée a apparemment été condamnée à son tour...
Franchement, prendre autant de risques nous a valu une belle trouvaille !
Disons qu'on était là au bon endroit, au bon moment. C'est rare dans le milieu et on en a profité à fond
Des accès comme celui-là se referme très vite. Tant pis pour les autres