Déconstruction sinusoïdale... Equation parastatale... Allégorie psychanalytique cubique... Sans oublier, bien évidemment, l’absolu destitué.
Et vice et versa.
Tout ceci n’a bien-sûr aucun sens. Un peu comme l’art contemporain.
Il n’y rien à faire, je ne pige rien à cela. Si l’art se résume à poser un truc là, associé à un autre objet, chacun peut se déclarer artiste.
Enfin bref.
Nous voici donc à Lille 3000, programme culturel
controversé (vu son coût exorbitant pour une ville aux finances exsangues) s’étalant du 6 octobre 2012 au 13 janvier 2013. Tout ceci
en prolongement de Lille 2004, quand le chef-lieu de la Flandre française était capitale culturelle de l’Europe. Un gros bazar bien
pompeux et à l’utilité douteuse.
Cela nous donne au moins l’occasion d’apprécier (ou pas) des choses que l’on ne voit pas tous les jours.
L’expo visitée se tient actuellement à l’ancienne gare Saint-Sauveur.
A côté des expositions, un petit tour dans la ville sera également rapidement fait.
Le boyau de plastique a avalé une innocente victime. Un de moins !
Un labyrinthe en carton. Ok...
Des gens regardant un type et une boîte.
Quand les spectateurs deviennent eux-mêmes la cible d’un objectif.
Jour.
Nuit.
Des humains en exposition.
Atelier de grimage.
Notre futur
Un bistrot rétro sympa en face de la gare Saint-Sauveur.
La Porte de Paris (1692) et le beffroi (1932).
L’église Saint-Sauveur (XIVe – XIXe siècle).
Des gens. Encore et encore...
La vieille bourse (1653).
Toute peine mérite salaire !
Soyez le premier & devenez quelqu’un de bien • Be the first & become a good person