Visite au Grand Hornu, dans le Borinage.
Terre de contraste (et de socialisme malheureusement), le rénové y côtoie le délabré, tout comme la culture élitiste moderne
est proche voisine du crétinisme.
Etant donné qu’aujourd’hui avaient lieu les Journées
du Patrimoine, l’accès au Musée d’Arts
Contemporains (MAC’s) était gratuit. Mais vu mon dégoût total des machins qui sont adulés de nos jours, je préfère me concentrer
sur les bâtiments anciens qui ont, eux, une grande valeur, de l’harmonie et qui sont autrement plus chaleureux que les cubes en béton gris.
Balade dans le Borinage et sous le soleil.
Le Grand Hornu en approche.
Décadence...
La Cité Hadès (1975). J’y reviendrai.
Pour l’historique du Grand Hornu, je vous renvoie au site officiel.
Henri De Gorge (1774-1832), fondateur du Grand Hornu.
Les ruines de la fonderie.
Des angles droits, des murs plats et monochrome et une incontestable touche locale qui permet immédiatement de rattacher ce bâtiment au Borinage.
La froideur brutale et moderne du musée.
Décidément, je ne comprendrai jamais comment l’architecture moderne peut être autant glorifiée.
Mortels, soyez les bienvenus dans le royaume vivifiant du mausolée.
Retour dans votre monde...
Un couloir moderne menant au musée. Je n’y irai pas plus loin.
La Cité Hadès. Moche, mal conçue, elle sera la vedette du Journal des Travaux Inutiles de Jean-Claude Defossé.
Back to home.
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